vendredi 30 mars 2012

Viol



En France, 
chaque jour, 205 femmes violées; 
chaque semaine 3 au moins meurent sous les coups de leur compagnon;
chaque jour , une nouvelle race,les pervers narcissiques se surpassent.(il faut lire à ce sujet un article dans le N° du 15 mars dernier du Nouvel-obs.) édifiant !
Pourquoi ? 
l'homme est malade de quoi ? 
le sexe est-il une machine qui peut devenir monstrueuse ?
l'homme est bien sûr attiré naturellement par la femme ; c'est bien normal.La tête de notre compagne est bien souvent mieux faite que la nôtre, on s'en rend compte seulement maintenant ?!!;
son corps , ses courbes dites "molles" ou tout n'est que douceur, épaules , seins, hanches,.....est tellement attrayant. tout est beau .

mais cela ne justifie en rien une attitude agressive physique psychique ou verbale. Ceux qui leur font du mal d'une façon ou d'une autre n'ont aucune excuse à mes yeux.
Vois-tu j'ai 70 ans;et je peux te le dire, nous sommes entre nous, je me sens libéré du poids des tensions et désirs sexuels; privilège de l'âge et j'en suis heureux bien que tout fonctionne sans trop de problèmes si je puis dire.
j'ai toujours plaisir à regarder une femme même vieillissante; elles sont toujours aussi belles avec leurs rides et leurs cheveux blancs.
Mesdames, faites attention, protégez vous; l'homme est un prédateur et dans certains cas un pauvre type; il est le seul mammifère capable de tuer son prochain; même les animaux sont plus respectueux. 
"l'homme est un loup pour l'homme" nous rappelle (Hobbes)
Il y a parmi nous des malades et cela ne se voit pas au premier abord.


mercredi 28 mars 2012

répétitions


que reste-il en nous après un événement ? 

l' événement est apparemment extérieur à nous et cependant il a un impact (en ou sur) nous.
l' événement , qui peut se répéter, n'est-il pas inconsciemment induit par nous , alors que nous pensons qu'il est indépendant ?
les situations qui se répètent dans notre vie ne nous disent -elles pas qu'il faut revoir, encore et encore notre copie et réfléchir?
les situations sur notre chemin ne se répètent-elles pas tant que nous n'avons pas compris qu'il faut modifier quelque chose dans notre attitude face à l'événement ?
c'est Dürckeim qui dit ça très bien:
" il n'existe pas d'action , quel qu'en soit le but extérieur, qui ne contienne "la chance intérieure" de nous plonger toujours davantage dans la vérité."
c'est un peu comme si il y avait un tunnel qui doit faire résonner en nous un événement extérieur.
si c'est positif tant mieux.
si c'est négatif tant mieux également; c'est le signe qu'il faut se remettre à l'ouvrage avec courage et volonté.
le but étant la recherche permanente du bonheur dans cette vie qui est précieuse parce que unique.

jeudi 22 mars 2012

l'horloge


je vais te raconter l'histoire de l'horloge .

je te demande : les autres, la plupart des gens, leur arrive–t-il aussi d’avoir des moments de lumière et des moments d’obscurité ?
- je crois bien que oui…… c’est peut être pour cette raison que depuis un instant me trotte dans la tête le souvenir d'un conte que j'ai retrouvé, qui s'intitule :
" l’horloge arrêtée à 7 heures" .
je crois que dans la vie , il y a des périodes qui semblent plus lumineuses que d'autres; tu assimiles plus facilement les connaissances, tu te sens plus éclairé, plus équilibré et même quand ça ne va pas exactement comme tu l'aurais voulu tu essaies de garder une attitude de calme acceptation et du coup tu te sens capable d'affronter les difficultés plus sereinement.
cette histoire  est le monologue d’un personnage qui écrit dans la solitude de sa chambre.
L’horloge arrêtée à 7heures
Sur l’un des murs de ma chambre est accrochée une belle et très vieille horloge qui ne fonctionne pas. Ses aiguilles , arrêtées depuis bien longtemps marquent imperturbablement la même heure :
Sept heures précises.
La plupart du temps , l’horloge n’est qu’une inutile décoration sur un mur vide, blanc. Toutefois, il y a deux moments dans la journée, deux instants fugaces, ou la vieille horloge, tel un phénix, semble renaître de ses cendres.
Lorsque toutes les horloges de la ville, dans leur course folle, marquent 7 heures,et que les coucous et les gongs des autres pendules répètent sept fois leur chant, la vieille horloge de ma chambre paraît reprendre vie.
Deux fois par jour, matin et soir, l’horloge est en parfaite harmonie avec le reste de l’Univers.
Si quelqu’un regardait l’horloge uniquement a ces moments là, il dirait qu’elle marche parfaitement……mais tout de suite après, alors que les autres horloges se taisent et que leurs aiguilles poursuivent leur ronde monotone, ma vieille horloge perd la cadence et reste fidèle à cette heure qui un jour a interrompu sa course.
Et moi, j’aime cette horloge. Et plus je parle d’elle, plus je l’aime, car il me semble que je lui ressemble chaque jour davantage.
Je suis moi aussi arrêté dans un temps. Je suis moi aussi, en quelque sorte, un ornement inutile sur un mur vide.
Mais je profite également d’instants fugaces ou, mystérieusement, vient mon heure.
Dans ces moments,j’ai l’impression de vivre. Tout est clair et le monde devient merveilleux . je peux créer , rêver , voler, dire et sentir plus de choses au cours de ces instants que tout le reste du temps.
Ces conjonctions harmoniques se produisent et se répètent à maintes reprises, telle une séquence inexorable.
La première fois que je l’ai ressenti, j'ai essayé de m’accrocher à cet instant, croyant que je pourrais le faire durer toujours.
Mais il n’en fut rien. Comme mon amie l’horloge, à moi aussi m’échappe le temps des autres.
…passé ces moments , les horloges qui habitent les autres hommes continuent leur ronde, et je retourne à la mort statique de mon train-train, à mon travail , à mes conversations de café, à cette ennuyeuse déambulation que j’ai pris l’habitude d’appeler vie.
Mais je sais que la vie est autre chose.
Je sais que la vie, la vraie vie, est la somme de ces instants qui bien que fugaces, nous permettent de percevoir notre syntonie avec l’Univers.
Presque tout le monde- pauvre monde – croit vivre.
Il n’y a que des instants de plénitude ; ceux qui ne le savent pas, et s’obstinent à vouloir vivre pour toujours, seront condamnés au monde de la grisaille et à la déambulation répétitive du quotidien..
C’est pourquoi je t’aime vieille horloge.
Parce que nous sommes pareils , toi et moi.
Voilà , je t’ai raconté ce conte aujourd’hui pour te montrer une belle métaphore  :
« Peut-être ne vivons nous tous que dans l’harmonie de quelques instants. Peut être maintenant, en cet instant , l’heure de la vraie vie coïncide- t-elle avec ta propre heure?

Si c’est le cas, profites-en, peut-être passera-t-elle…… trop vite. »

lundi 19 mars 2012

labyrinthe et temps

Parmi les auteurs que j'aime,il y a Maxence Fermine . J'ai pris beaucoup de plaisir à lire tous ses ouvrages .Ce matin , je voudrais t'offrir un très bel extrait de " Le labyrinthe du temps ":

"La vie est un labyrinthe inextricable, et chaque être, perdu dans sa solitude,erre en silence pour chercher une quelconque issue au tragique destin de son existence. 
Seuls les fils d'Ariane que sont les liens d'amitié et d'amour, qu'il tisse avec les autres êtres dans ce même labyrinthe, lui donnent le courage de continuer à chercher et à avancer chaque jour. Sans ces fils d'Ariane , l'être humain sombrerait dans la folie, comprendrait qu'il n'est rien et se donnerait la mort.
Mais il sait que d'autres, comme lui, cherchent la sortie, [....]
Car pour son malheur, pour son plus grand malheur, il croit qu'il y a une sortie. C'est pour cela qu'il reste en vie et que, du labyrinthe de l'existence, il fait une prison dorée qui pourrait un jour devenir son paradis.
Ceux qui vivent avec la nostalgie du passé ou dans l'espoir d'un futur meilleur seront condamnés à errer indéfiniment dans les couloirs du temps. Ceux là , voués au malheur, seront attirés irrémédiablement par le magnétisme de la clepsydre et pris dans les tourbillons de l'incertitude et de l'isolement.
Car à trop penser au passé, on en oublie de vivre au présent. On vit comme si on allait jamais mourir et on meurt sans jamais avoir vécu. 
La seule façon d'échapper au sortilège est de vivre l'instant présent."


samedi 17 mars 2012

bonheur simple








Je te rassure je ne suis pas sur la photo; elle date , mais je peux te dire que dans certains endroits reculés de nos montagnes il n'y a pas bien longtemps c'était ainsi, gens et bêtes vivaient tout près les uns des autres .
Cette photo vient d'un refuge de par chez moi; c'est une amie alpiniste et photographe qui a fait un cliché de cette vieille photo que l'on peut d'ailleurs trouver en carte postale à Chamonix.
elle me permet de rebondir sur la petite phrase en bas à peine lisible : " le bonheur est simple"
j'aime cette photo; regarde comme le fermier et sa femme dans le "pèle" l'endroit qui leur sert de cuisine et de pièce à vivre sont calmes, sereins, tranquilles et semblent apprécier ce moment qui est le prélude à une longue journée de labeur.
ils ne sont plus très jeunes mais leur vie c'est ça depuis leur jeunesse et sans doute jusqu'à la fin.
regarde le léger sourire de la fermière; c'est son homme qui lui sert le café fumant.
moi, je te dis qu'ils s'aiment toujours ces deux là. tu n'as pas envie de t' asseoir avec eux ,partager ce moment de sérénité et boire un café ?
 Leurs bêtes; c'est leur vie dans toute sa simplicité.
ils se contentent de bien peu comparé à notre confort
d' aujourd'hui et à nos exigences toujours plus élevées!!
rien ne contentera celui qui ne se contente pas de peu. nous rappelle un proverbe grec
je ne te demande pas de vivre comme eux mais quand je vois ce qui se passe dans le monde, je me demande s'il ne va pas falloir réapprendre ce qu'est le bonheur simple qui consiste à apprécier et s' enthousiasmer pour des petits riens.
plus notre confort est grand , plus la vie semble compliquée et difficile; à choisir,vaut-il mieux ÊTRE ou AVOIR.? Question récurrente réglée pour ma part depuis bien longtemps.
savoure la vie , jette du lest, vide ton sac chargé des cailloux des soucis , des obligations , des contraintes , des factures; .......il paraît que d'en haut, tout là haut dans ta tête enfin allégée , les soucis sont devenus sable et coulent comme de l'eau.
on peut se réjouir simplement sur le bonheur d' être là , heureux.
la vie est un voyage et on peut voyager simplement.
faîtes votre bonheur de tout, même de l'imprévu, la vie est un voyage.
nous confirme Henri Gougaud ce conteur poète.
je te souhaite une très bonne journée simple comme le bonheur .

                                     










jeudi 15 mars 2012

voir


Si tu savais que ce soir tu allais devenir aveugle , tu jetterais un regard nostalgique , un vrai dernier regard à chaque brin d'herbe, à chaque nuage, à chaque goutte d'eau, à chaque fleur , à chaque personne que tu aimes, à chaque animal de compagnie qui te donne tant, au soleil , ........., afin de garder dans ton esprit le souvenir de tant de beautés.
La journée n'y suffirait d'ailleurs pas.
Alors, c'est vrai je crois qu'il faut regarder chaque jour et le vivre comme si c'était le dernier; profiter de chaque instant avec une attitude positive et une volonté spontanée venant de l'intérieur (dirait le dalaï lama.).
Tu me diras et tu auras raison, même aveugle on peut vivre ( il y en aurait 37 millions dans le monde) et que sans doute on a dans cet état , accès à d'autres sens qui nous étaient fermés jusque là.
Mais nous avons la chance de voir , certes pour certains d'entre nous avec de bonnes lunettes , alors sachons être conscients de ce bonheur de voir, les choses les plus belles et les moins belles , mais comment apprécier ce qui est beau à nos yeux si on ne voit pas aussi le reste; et puis il faut tout voir; ce qui est beau pour toi est peut être laid pour moi....comment apprécier la lumière si on ne connaît pas l'obscurité ?
Pour tout , n'est-ce pas la recherche d'un équilibre harmonieux ?

lundi 12 mars 2012

papier nuage


En extrême orient  il y a du bon et aussi du moins bon ; rien n'est parfait en ce bas monde.

Cependant,les asiatiques en général ,sont des gens dont je me sens  proche ; ils ont une philosophie de la vie dont nous pourrions nous inspirer bien souvent dans notre monde occidental , lorsque cela est possible.
Ils ont une approche des choses parfois très poétique par exemple :
Quand je touche du papier profondément, tiens un livre par exemple; en fait pour l'asiatique je touche un nuage; pourquoi ?
ferme les yeux:
Si nous regardons dans la nature du papier , que voyons-nous ?
Nous pouvons d'abord voir un nuage
parce que sans nuage il n'y aurait pas de pluie et les arbres ne pourraient pas pousser(...)
Et qui a-t-il encore?
Il y a du soleil , parce que sans soleil les arbres ne peuvent pas pousser,
et il y a aussi la terre.....
Voilà quand on touche du papier de façon consciente et profonde ou cela peut entrainer la pensée d'un asiatique.....
Nous pourrions faire de même avec la nourriture pour prendre le temps en la mangeant,de l'apprécier et se nourrir en conscience .
Les ingrédients, légumes, graines , laitages etc...plantés ,arrosés ,cueuillis..recueillis par la traite..remonter toute la chaine jusqu'à la semence , la redescendre jusqu'aux mains qui ont préparé ,arrangé , présenté, parfumé,agrémenté avec amour et ce , tous les jours ce que nous allons pour beaucoup avaler en trois coups de cuillères sans y penser , en regardant parfois la télé ou lire, ou parler sans penser à ce que nous avons dans l'assiette.
Tu vas me répondre , que tu n'as pas le temps de penser à tout ça parce que tu as un R.V. et que tu es déjà en retard.
Tant pis ; c'est ton problème ; ...
Tout ça pour te dire que tout est lié ; nous avons besoin pour survivre de nous nourrir l'esprit et le corps et qu'il faudrait donc avoir en tout une attitude de respect envers cette nature de qui nous tirons notre subsistance .
-titou-

dimanche 11 mars 2012

souvenir respectueux




Il me semble que si je connaissais mieux l'histoire de mes ancêtres, je me connaîtrais mieux !
Sur les préoccupations de l'époque, leurs lieux de vie, leurs amours,leurs épreuves , leur santé, leurs joies, leurs peines, leurs angoisses, leurs travers et tellement d'autres choses.
Par exemple tout bêtement, aimaient-ils les chats comme moi ?
je crois au fond de moi que je suis beaucoup d'eux, que cela me plaise ou pas. Dans mes gênes il y a de ce qu'ils étaient.
Leurs objets qui leur survivent parlent et sont pour moi d'une valeur inestimable sur le plan sentimental.Pour mes enfants moins sans doute mais cela pourrait venir un jour.
Par exemple, derrière moi j'entends le tic tac de la pendule de Johanna mon arrière grand-mère paternelle ;elle l'avait reçue en cadeau de mariage. Elle a prés de 130 ans et elle fonctionne toujours. C'est comme si elle était présente.Comment ne pas se sentir plus proche d'elle alors que je n'en n'ai aucun souvenir ,il m'a été raconté voilà longtemps qu'elle est morte de faim en 1944 se privant de ses tickets de rationnement pour que ma mère trouve de quoi me nourrir.
Je me suis pris de passion pour les meubles et objets dits "d'art populaire de montagne"; des meubles et objets utiles pratiques et authentiques, parfois grossièrement taillés , parfois finement ciselés en fonction de la dextérité et l'habileté de chacun.
En vivant près d'eux, au milieu d'eux je m'y sens bien, il y a une âme , une histoire pour chacun  que j'ignore mais que je peux imaginer et cela me réchauffe le coeur.
je suis absolument tourné vers l'avenir mais j'aime cette référence au passé qui me rappelle ce que je suis pour bien vivre le présent.
-titou-

mercredi 7 mars 2012

tolérance et respect


Incapacité a supporter ce qui dérange?
C'est quoi être tolérant ?

N'est ce pas justement de supporter ce qui nous dérange?
Si tu veux te battre contre les intolérants c'est que toi même tu n'es pas tolérant .
Pas facile hein , de cohabiter avec quelqu'un qui est insupportable d'intolérance.
J'entendais l'autre jour un ami lire tout haut un entrefilet sur un sujet de Charles Pépin, prof de philo; il a dit quelque chose de bien et il va plus loin dans la réflexion:
"la tolérance est une valeur négative; le respect une valeur positive. respecter la différence, c'est aller vers elle, au risque d'ailleurs de revenir changé. tolérer l'autre c'est ne pas aller vers lui alors qu'on voudrait le frapper. le respect vise le bien , la tolérance le moindre mal..."et il termine par : l'intolérance est intolérable mais la tolérance n'est que tolérable.
 Je sais , la tolérance , il y a des maisons pour ça ! a dit avec humour quelqu'un (je ne me souviens plus qui ....)
Je prend mon exemple tiens ; je n'aime pas les blagues à connotation raciste.....
Je n'y avais pas pensé mais à priori contrairement à ce que je croyais je manquerais donc de tolérance.
Et cependant être tolérant c'est relativement facile mais semble-t-il insuffisant; le respect c'est autre chose.
Ce n'est pas si simple .....et c'est un sujet sensible ...je sais , mais on peut parler .
En sachant que dès que tu mets en parole les pensées de ton esprit , il y a dégradation...je veux dire que les mots manquent ou ne reflètent pas la pensée justement.
 Nous ne nous ressemblons pas tous mais nous avons compris depuis longtemps que nous avons besoin les uns des autres pour vivre .....et vivre ensemble c'est un art !
Et ça passe par le respect !
-titou-

                                     

samedi 3 mars 2012

le miroir et la mort


D'après une histoire écrite par un jeune docteur en neurosciences (david  )
 Attention ça peut causer des perturbations dans les synapses de ton petit cerveau;
je te résume:
Imagine , tu viens de mourir...enfin tu le crois mais c'est faux; en fait tu es dans un espèce de no man's land; tu oublies qui tu es , tu vois ton égo se détacher de toi, tu n'as plus de repaires; sauf celui d'une petite partie de
toi , ton noyau en quelque sorte dont il te reste la conscience; et là , c'est le choc!
Tu réalises que tu as vécu toute ta vie dans ta propre tête; du coup tu comprends que tu connais plus les autres que toi. c'est un comble!
Tu as bien vu ton image dans des miroirs ; on te disait tes qualités, quelque fois tes défauts, qui te servaient de guide ( parfois...) ; mais quand par exemple tu entendais ta voix enregistrée ou que tu te voyais sur une photo ou dans un film de famille tu étais bien perplexe.....pas vrai ?
On peut dire par conséquent que ce sont les oreilles, les mains, les yeux des autres qui ont régi ta vie; tu te voyais à travers les autres comme dans un miroir.
Et là ou tu es maintenant , tu retrouves les morceaux de toi qui étaient éparpillés chez les autres à nouveau réunis.
On te tend un miroir et là, il n'y a plus de filtre, tu te vois pour la première fois tel que tu es à l'intérieur.
et c'est ça qui te tue.!!!